Piqués par les aiguilles de Pierre-Gilles Romieu ou encrés par le dermographe de Dawn, ils sont ressortis de La Bête Humaine la peau marquée d’un tatouage de masque japonais.
Piqués par les aiguilles de Pierre-Gilles Romieu ou encrés par le dermographe de Dawn, ils sont ressortis de La Bête Humaine la peau marquée d’un tatouage de masque japonais. L’occasion, pour notre studio de tatouage à Paris, de revenir sur cette figure emblématique de la culture nippone.
Les mille masques du théâtre du nô
« Le masque au Japon se retrouve aussi bien dans les arts et les médias que dans la vie de tous les jours », nous apprend le webzine Journal du Japon. Tant et si bien que parler d’un masque relève du non-sens : c’est à des masques au pluriel qu’il faut faire allusion. À commencer par les kamen, partie intégrante d’une ancestrale tradition au Soleil Levant. Sculptés dans du bois, ils servaient jadis aux artistes dédiés à la danse et à la musique. À partir du 14ème siècle, ce sont certains théâtres, à l’instar du kyôgen ou du célèbre nô, qui emprunteront les kamen.
Des masques nippons rigolos… ou totalement flippants
Si le masque japonais peut servir la bouffonnerie, comme le hyottoko, il est aussi employé comme outil de frayeur. Quelques exemples ? Évoquons les samurais, qui pouvaient utiliser des faciès à tête de dragon pour terroriser leurs ennemis. Citons également le rituel du namahage où, pareils à des pères fouettards, les jeunes villageois revêtent d’inquiétants masques rouges et bleus et menacent d’emporter les enfants qui n’écoutent pas leurs parents… Dans un registre moins anxiogène, citons enfin les nombreux masque de kitsune, fameux renard magique des contes japonais.
Votre tattoo de masque japonais au cœur de Paris
En noir et gris ou en couleurs, réaliste, graphique ou bien cartoon, le masque japonais se tatoue même à 10 000 kilomètres de l’archipel nippon – ici, à La Bête Humaine. Tenté·e ? Contactez-nous pour confier notre projet à :