On ne tatoue pas encore au sabre laser, mais la science-fiction au 7ème art a inspiré nombre de nos tatouages. La preuve en quelques images !
On ne tatoue pas encore au sabre laser, mais la science-fiction au 7ème art a inspiré nombre de nos tatouages. La preuve en quelques images !
Une définition de la science-fiction
Les plus pressé·es l’appellent « SF », celleux qui veulent frimer avec leur accent anglais la nomment « sci-fi ». La science-fiction est un genre littéraire et cinématographique dont le dénominateur commun est d’inventer des mondes, des sociétés et des êtres situés dans des espaces-temps fictifs – souvent futurs – impliquant des sciences, des technologies et des situations radicalement différentes.
Un genre exploité par les dermographes
Le cinéma de science-fiction, naguère appelé « cinéma d’anticipation », est l’un des avatars les plus prolifiques du cinéma fantastique. De la dystopie la plus crasse au space opera le plus flamboyant, ces films constituent de véritables machines à rêves – voire à cauchemars – et ont logiquement inspiré tatoueuses, tatoueurs, tatouées et tatoués.
La SF selon Pierre-Gilles Romieu et Barbara Rosendo
Au sein du vaisseau La Bête Humaine, Pierre-Gilles Romieu s’est particulièrement intéressé à ce monde peuplé de robots, mutants et autres savants fous. À ce jour, l’œuvre du tatoueur compte une plongée dans Star Wars avec une Étoile de la mort fondue dans un portrait de Dark Vador, un double hommage aux Gardiens de la Galaxie avec l’extraterrestre végétal Groot et le raton-laveur Rocket, un convecteur spatio-temporel façon Retour vers le futur, ou encore un bras bionique calqué sur celui de Captain America : Le Soldat de l’hiver. Loin d’être en reste, Barbara Rosendo complète cette mosaïque de l’irréel avec ses portraits réalistes inspirés des univers d’Alien, de Deadpool et d’Hellraiser.
Votre tatouage à Paris avec La Bête Humaine
Envie de passer sous nos aiguilles ? La Bête Humaine est ouverte tous les jours sauf le dimanche de 10h à 20h !